Londres: Le gouvernement des États-Unis a promis que Julian Assange bénéficiera d'un procès équitable pour espionnage, rejetant l'accusation d'un expert des Nations Unies selon laquelle l'administration "entendait donner l'exemple" avec des accusations excessives et une peine de prison.
Il a contesté l'évaluation de l'expert, le rapporteur spécial des Nations unies sur la torture, Nils Melzer, selon laquelle Assange serait «exposé à un risque réel de torture ou autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants» s'il se retrouvait dans une prison américaine.
Mais Melzer a averti que l’extradition vers les États-Unis aggraverait gravement et dangereusement l’état psychologique déjà fragile d’Assange.

Julian Assange brandit un rapport de l'ONU de 2016 selon lequel il était détenu illégalement.Credit:ninevms
Le fondateur de WikiLeaks se trouve dans une prison londonienne dans l'attente d'une bataille juridique contre l'extradition vers les États-Unis. Il a été accusé de complot en vue de recevoir et de divulguer des documents top secret qui auraient été obtenus du dénonciateur militaire Chelsea Manning en 2010.
L’équipe d’Assange devrait faire valoir qu’il ne bénéficierait pas d’un procès équitable si l’extradition avait lieu et que cette extradition serait dangereuse pour sa santé - arguments étayés par le rapport indépendant accablant de Melzer.
En mai, après s'être rendu à Assange dans la prison de Belmarsh pour un entretien et un examen psychologique, Melzer conclut que les États-Unis, la Grande-Bretagne, la Suède et l'Équateur partageaient la responsabilité de la «torture psychologique» d'Assange.
Dimanche, de nouveaux détails sont ressortis des conclusions de Melzer, après la publication des lettres qu’il avait envoyées aux gouvernements respectifs de ces pays.
Le Commissaire aux droits de l'homme des Nations Unies a également publié deux réponses reçues des États-Unis et de la Suède, qui ont fermement rejeté les affirmations et les arguments de Melzer.
Dans ses lettres, Melzer donna de nouveaux détails sur le régime carcéral d’Assange.
Au moment de sa visite, Assange était enfermé dans sa cellule environ 20 heures par jour. Il mangeait tous ses repas dans un espace de 2 mètres sur 3 mètres avec «un lit, un placard, un tableau de notes, des installations sanitaires de base, une chaise et une fenêtre de taille moyenne ».
Melzer a demandé à ce que Assange ait accès à la bibliothèque et au gymnase de la prison et s'est dit préoccupé par le fait que sa situation "entrave gravement sa capacité à se préparer de manière adéquate" à son combat judiciaire.
Selon Melzer, "les capacités cognitives et sensorielles de Assange ont été et continuent d’être considérablement altérées" après son emprisonnement de six ans à l’ambassade de Londres en Équateur.
Assange a présenté des symptômes d'exposition prolongée à «un stress psychologique sévère, à l'anxiété et à des souffrances mentales et émotionnelles connexes» susceptibles de provoquer «des troubles de stress dépressif majeur et post-traumatique», a déclaré Melzer.
S'il était extradé aux États-Unis, «son état actuel risque de se détériorer de manière dramatique, avec des séquelles psychologiques et sociales graves et à long terme».
Melzer s'est dit gravement préoccupé par l'intention des autorités américaines de "faire un exemple" d'Assange, de le punir personnellement et de dissuader les autres.
Il craignait que “M. Assange sera confronté à des accusations excessivement lourdes et à des sanctions pénales excessivement sévères ».
Melzer a déclaré que l'état mental d'Assange avait été causé par son traitement par la Grande-Bretagne, la Suède, les États-Unis et l'Équateur.
Il a accusé les autorités de poursuite suédoises et britanniques de "créer et de maintenir" délibérément l'impasse juridique qui empêchait Assange de faire face à des allégations de viol et d'agression sexuelle en Suède.
La Suède, a-t-il déclaré, a utilisé un «récit présumé de viol» pour «saper délibérément sa réputation et sa crédibilité». L'Équateur l'avait harcelé avec «des restrictions réglementaires et une surveillance excessives» pendant son séjour à l'ambassade.
Dans les quatre pays, les médias, des personnalités politiques et de hauts responsables, y compris des magistrats, ont soumis Assange à «un harcèlement, à des actes d'intimidation et à une diffamation publics sans restriction», a déclaré Melzer.
Cela a causé à Assange «une anxiété chronique, du stress et une dépression, ainsi qu'un intense sentiment d'humiliation, d'isolement, de vulnérabilité et d'impuissance… dont les effets cumulatifs constituent clairement une torture psychologique».
Il a appelé la Grande-Bretagne à ne pas extrader Assange et les États-Unis à garantir un procès et un traitement équitables en prison.
Aucune réponse de la part de la Grande-Bretagne n'a été publiée par l'ONU dimanche.
La Suède, dans une réponse datée du 12 juillet, a déclaré que l'action des procureurs contre Assange avait été indépendante du gouvernement et que leur proportionnalité avait été testée et confirmée par la Cour suprême suédoise.
Il a déclaré qu'il "réfutait fermement" l'affirmation de Melzer selon laquelle les procureurs faisaient autre chose que d'enquêter sur les allégations de viol et d'agression sexuelle portées contre Assange.
Le gouvernement américain a nié avoir torturé Assange, affirmant que les accusations semblaient reposer sur des déclarations publiques des médias et des responsables politiques et gouvernementaux, et que ces types de déclarations ne constituaient pas une punition, encore moins une torture.
Il se dit "profondément préoccupé" par les revendications de Melzer, qui ont "des implications dangereuses pour la liberté d'expression, la démocratie et la primauté du droit".
Il a également catégoriquement rejeté l’affirmation selon laquelle les États-Unis tortureraient ou maltraiteraient Assange s’il était extradé.
"Les États-Unis prennent très au sérieux leurs obligations au regard du droit international des droits de l'homme", indique la lettre. "Les personnes extradées vers les États-Unis bénéficient d'une procédure régulière en vertu du droit américain et des garanties d'un procès équitable."
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Nick Miller est correspondant en Europe pour le Sydney Morning Herald et The Age
En complément, voici une vidéo d'une entrevue avec Nils Melzer publiée le 31 mai 2019
et intitulée Julian Assange : un rapporteur de l'ONU dénonce une «torture psychologique»

Au Québec et au Canada sous le cadre colonial dictatorial pédocriminel de l'Angleterre, c'est encore pire, non seulement l'État du Québec avec sa Mafia pédocriminelle Franc-Maçonne d'État et ses nombreux complices fonctionnaires pervers aux comportements de psychopathes avec leurs journaleux mythomanes de leurs divers Mérdias traditionnels et leurs nouveaux Mérdias alternaifs et autres de leurs acolytes sales Traîtres-Taupes-Trolls sous-fifres larbins de service complotent criminellement et inconstitutionnellement pour esclavager le peuple du Québec depuis l'arrivée des Francs-Maçons d'Angleterre en 1763 afin de le maintenir sous leur présumée "Toute-Puissance" hors-la-loi avec leur Loi de l'Omertà franc-maçonne et leur cadre colonial dictatorial, tyrannique, terroriste et pédocriminel, ils esclavagisent le peuple du Québec (Premières Nations et Québécois francophones a priori) et font de la Traite d'enfants avec la mafieuse DPJ et le Barreau du Québec et leurs juges post-it, font de la Traite d'adultes avec la fausse psychiatrie et/ou le DPCP et/ou le Percepteur des amendes avec l'aide du Barreau du Québec et leurs juges post-it. En somme, ils abusent, détiennent par intimidation et double contrainte et/ou de façon physique (avec l'aide leurs nombreux chiens sales de service policiers, constables spéciaux. agents correctionnels, huissiers et autres minables pervers mythomanes tyranniques égoïstes et mercantiles des Ministères de la (l'In)Justice et de la (l'In)Sécurité publique du Québec) et/ou chimique (avec l'aide de la fausse psychiatrie et leur médication criminelle de contention et des divers intervenants des ministères de l'éducation et de la présumée santé et des services sociaux pour désinstruire et reprogrammer, soumettre, rendre malade, fragiliser la structutre d'identité et stygmatiser calomnieusement les citoyens du Québec) et emprisonnent des enfants et des adultes innocents et vulnérables, les abusent psychologiquement et/ou physiquement et/ou sexuellement, maltraitent, torturent, violentent, rendent malade, "accidentent", empoisonnent, euthanasient, font des tentatives de meurtre et assassinent (souvent sous forme de "suicides" déguisés ou provoqués) allègrement et impunément avec récompenses diverses de l'État (dont un travail dans l'État et autres privilèges et récompenses associés) et de leurs nombreux acolytes complices pédocriminels, et donc, avec encouragement, aide et assistance de toutes les créatures de l'État et de ses divers acolytes du privé. La tête qui chapeaute le tout "in the Québex" est le Conseil exécutif du Québec, l'Assemblée nationale du Québec avec ses députés post-it élus clés en mains suite à des élections bidons et le Barreau du Québec avec ses Avocats=Lawyers=Liars=Menteurs=Juges post-it et toutes ses sales créatures malsaines tels que tous les contentieux d'avocats véreux qui contrôlent et manipulent tout, tant au privé, qu'au public, qu'au niveau économique, médiatique, éxécutif, législatif et judiciaire telle une vraie de vraie dictature pédocriminelle coloniale franc-maçonne. Donc jusque dans les Merdias et les dossiers des palais de justice qu'ils forgent et falsifient à leur guise jusqu'à inventer des détentions en infirmerie pour faire croire à une maladie mentale jusque par une liste illégale, arbitraire, criminelle et totalement inconstitutionnelle et diffamatoire de citoyen(ne)s qu'ils calomnient majoritairement publiquement par l'autorité des sites internet des tribunaux judiciaires en les stygmatisant sans aucun fondement ni requête ni procès ni jugement et donc, criminellement comme présumé(e)s quérulent(e)s pour les discréditer et les affecter psychologiquement avec l'aide de leurs Mérdias qui s'en font l'écho s'il y a besoin de davantage de harcèlement psychologique public pour éliminer leur adversaire, et surtout, pour leur enlever tous leurs droits fondamentaux pourtant inailénables (et pourtant très bien protégés par écrit dans la Constitution avec sa Charte candienne des droits et libertés ... Si une de leur victime finit par accepter de devenir leur omplice en action et/ou par son adhésion volontaire à leur Loi du silence, et bien, ils révisent leur décision et ils effacent tout sur Internet; bref, il s'en servent cmme une forme de chantage criminel d'inimidation étatique, juridique et merdiatique) dont le droit d'avoir connaissance des présumées preuves contre eux, le droit à une défense pleine et entière, le droit d'être entendus, le droit de préparer leur défense, le droit de circuler librement s'ils n'ont pas été déclarer coupables de crime avec sentence de prison, etc. et le droit à l'accès au système judiciaire de façon équitable et impartiale sans harcèlement criminel ni initmidation ni humiliation ni agression psychologique, physique et sexuelle, ce qui est en fait une farce monumentale au Québec, car ça n'existe pas du tout jusqu'à la Cour d'appel du Québec car tout n'est qu'un jeu de rôle satirique pour ne pas dire carrément satanique. Cela arrive particulièrement depuis des années où les citoyens se représentent seuls face aux nombreux mensonges et magouilles d'avocats véreux qu'ils ont croisés et dûment payés qui ne les ont pas du tout défendus, voire pire, les ont calomniés et/ou encore ont caché et/ou détruit leurs preuves et donc, ne les ont pas du tout représentés en Cour comme est pourtant leur fonction lié à leur serment et comme ils s'en étaient pourtant engagés à leur client qui se fera dénigrer et attaquer par la Mafia pédocriminelle franc-maçonne du Barreau du Québec si leur client ose dénoncer publiquement et/ou porter plainte contre leur parure d'avocat pervers mythomane qui a agit sciemment de façon criminelle pour leur faire perdre leur cause devant le Tribunal avec encouragement, aide, assisitance de l'État du Québec et même avec des menaces du Barreau du Québec de perdre leur droit de pratique pour qu'ils le fassent par égocentrisme et lâcheté, et cela, si leur client possèdent trop de preuves incriminantes et irréfutables face aux crimes commis par des membres Frères et Sœurs Francs-Maçons majoritairement fonctionnaires pervers de l'État ou à la solde de celui-ci au communautaire et/ou au privé et/ou et/ou à contrat et/ou par des complices de leur sale Organisation Pédocriminelle Étatique Internationale Franc-Maçonne.
Ils inventent et/ou provoquent sciemment des présumés problèmes de comportements par du harcèlement criminel et intimidation continus jusque dans la vie privée, jusqu'à des arrestations et détentions arbitraires, jusqu'à des invasions du domicile familial, jusqu'à nuire à leur(s) enfant(s) en passant par leurs complices au niveau scolaire et au niveau des soins de santé, jusqu'à kidnapper leur(s) enfant(s) si nécessaire pour ce faire, avec de la torture psychologique et/ou physique et/ou sexuelle en privé et/ou devant autrui et/ou public avec leur Site Internet et leurs journaleux de leurs Mérdias, et si cela ne fonctionne pas, en influençant criminellement le personnel judiciaire et les juges par des oui-dires du personnel judiciaire en place jusqu'à les mettre par des écrits totalement inventés et mensongers glissés criminellement en catimini dans et sur les dossiers données aux juges dans le dos de la personne concernée sans que les juges s'informent auprès de la personne accusée concernée et surtout, sans que les juges dénoncent ces pratiques diffamatoires, calomnieuses, criminelles et partiales totalement injustes et inconstitutionnelles qui déconsidèrent totalement le système judiciaire au Québec et dont ils sont pourtant témoins au quotidien dans les tribunaux administratifs en passant par la Cour du Québec jusqu'à la Cour supérieure et la Cour d'appel ... et le greffe de la Cour suprême du Canada où un bandit pédocriminel greffier francophone formé par la Mafia du Barreau du Québec bloque des requêtes de plein droit face à une détention arbitraire présumée préventive de plusieurs mois, et ce, sans qu'il y ait eu crime, donc sans qu'il n'existe de plainte officielle avec numéro de dossier attitré comme l'exige la loi, donc sans la moindre preuve de crimes commis par des fausses accusations criminelles des avocats véreux mythomanes du DPCP aucunement fondées mais relevant d'inversion accusatoire dans le seul et unique but d'autoprotection de leur Mafia pédocriminelle Franc-Maçonne judiciaire, donc sans procès ni respect des règles, des procédures et des lois pourtant en vigueur et ce, malgré des preuves irréfutables du contraire publiées sur Internet et remis aux parties et aux juges. Malgré des preuves de graves crimes dont reconnus contre l'Humanité et pourtant envoyées par huissier au greffe de la Cour suprême du Canada. Et tout ce blocage criminel afin qu'ils ne se rendent pas aux juges de la Cour suprême du Canada qui est le dernier bastion pour espérer obtenir protection et justice face aux divers abus criminels de fonctionnaires de l'État du Québec et du Canada. Et ce greffier mythomane pédocriminel de la Cour supre du Canada est même allé jusqu'à écrire des lettres dans le dos des requérants faussement accusés et inconstitutionnellement détenus de façon préventive depuis des mois pour inventer de graves calomnies sur des Québécois activistes en défense des droits humains afin de faire entrave à la justice et leurs porter hautement préjudice dans des dossiers montés de toutes pièces de façon totalement criminelle pour aider leurs complices pédocriminels du Québec, soit les bandits avocats véreux du DPCP sous les ordres des mafieux pédocriminels Francs-Maçons du Barreau du Québec et ce, tel que cela est arrivé à Adam Richard et Chantal Mino ps.éd. depuis décembre 2013 où ils n'ont toujours pas eu accès au système judiciaire pour voir les preuves contre eux dasn leurs dossiers aux greffes, ni y être entendus ni à la Cour du Québec ni à la Cour supérieure ni à la Cour d'appel du Québec ni à la Cour suprême du Canada comme ils en ont pourtant le droit en tant que citoyens fiduciants et constituants de l'État du Québec et du Canada selon leur "Acte de naissance" face aux graves fausses accusations criminelles inventées contre eux, et surtout, face à leur détention arbitraire, illégale, criminelle et inconstitutionnelle qui perdure encore aujourd'hui par une détention dans un domicile envers Chantal Mino ps.éd. sous menace d'être encore arrêtée et emprisonnée arbitrairement comme prisonnière politique de cette Mafia Pédocriminelle Franc-Maçonne d'État. Bref, au Québec tout(e) citoyen(ne) voulant vivre sereinement et librement dans le respect de leur personne et d'autrui ainsi que des lois en vigueur et ne voulant pas être complice en action et/ou en inaction de cette sale Organisation Pédocriminelle Étatique Internationale Franc-Maçonne satanique, n'aura plus de droit, et les règlements, procédures et lois en vigueur n'auront plus du tout force de loi dans le système mafieux pédocriminel franc-maçon judiciaire du Québec et du Canada, tenez-vous le pour dit.
Comprenez bien que les bandits pédocriminels Francs-Maçons du Barreau du Québec ont pris possession des Palais de (l'in)Justice du Québec en s'y localisant directement frauduleusement et criminellement de manière physique pour y prendre l'information et le contrôle total de tout l'éxécutif (avocats, juges, greffiers, huissiers, constables spéciaux, etc.) et de toute l'information physique et informatisée qui leur est accessible, manipulée et falsifiée selon leur humeur et besoin du moment sous le couvert anonyme d'une personne morale (institution gouvernementale, organisme communautaire ou entreprise privée) sans aucune signature à l'appui tel que l'exige pourtant la loi depuis nombre d'années pour avoir une valeur légale afin de rendre imputable chaque fonctionnaire de l'État et l'État lui-même, pour éviter des faux et des abus et les obliger à réparation avec leur caution devant être engagée par leur serment en tant qu'employés publics de l'État du Québec. Leurs divers abus, infractions et actions criminelles ayant comme paravant le nom de l'Institution pour laquelle ils travaillent tels que "Ministère de la justice", "Percepteur des amendes", "Barreau du Québec", Barreau de Montréal", Ordre des psychoéducateurs et psychoéducatrices du Québec, SPVM, SQ, etc. et le fait qu'ils ne sont pas avocats et n'ont pas à connaître les lois ni les citoyens non plus d'ailleurs selon eux et selon le Barreau du Québec, leur permet nombre d'abus hautement criminels au nom et avec les moyens financier et matériel disproportionnés d'une personne morale institutionnalisée par rapport à un simple citoyen et ce, sans aucune imputabilité directe décisionnelle personnelle dirigeant immanquablement leurs crimes évidents dénoncés publiquement vers un manque de présumée $$$$$$ et/ou d'employés qualifiés (employés qualifiés qu'ils ne veulent certes pas dans la réalité des faits observables, mesurables et vérifiables), tout en se protègeant personnellement le plus qu'ils le peuvent de toute dénonciation les identifiant avec preuves irréfutables à l'appui et/ou de poursuite civile et/ou d'accusation criminelle. Sales créatures malsaines de l'État du Québec comme le Ministère de la (l'In)Justice du Québec avec son Barreau du Québec, son Barreau de Montréal, sa Chambre des notaires, ses Ordres professionnels, etc. qui sont tous finalement sous les ordres des Banksters de la Cité de Londres et de la Reine d'Angleterre ... bref, sous le contrôle et la dictature tyrannique pédocriminelle des plus riches Francs-Maçons de cette terre qui veulent maintenir le peuple du Québec sous leur esclavage colonial pédocriminel franc-maçon à n'importe quel prix pour préserver et satisfaire tous leurs désirs les plus vils, pervers, cupides, égoïstes et malsains.
Imaginez si l'état mental d'Assange a été causé par le traitement cruel et inhumain qu'il a eu depuis 6 ans par la Grande-Bretagne, la Suède, les États-Unis, l'Équateur et les divers Mérdias de masse appartenant aux plus riches, que peut-on alors penser des nombreux crimes, menaces et tentatives de meurtre que Chantal Mino ps.éd. a reçues depuis février 2010 de la part de pédocriminels de la Franc-Maçonnerie et de leurs divers fonctionnaires pervers et sadiques dans l'État du Québec et du Canada et autres de leurs sales complices avant, pendant et après les faits criminels à son endroit? Crimes commis par une Mafia pédocriminelle Franc-Maçonne d'État parce qu'elle persiste à aider et à défendre des enfants et leur famille naturelle, et ce, pour lui nuire, la harceler criminellement, l'intimider, la discréditer, la calomnier, la faire taire par menaces de mort, graves poursuites bidons civiles et/ou pénales et/ou criminelles, invasions du domicile familiale où son mari et son enfant se trouvent, vols de ses biens privés en argent (tel que des frais non justifiés relevant d'arnaques et de graves fraudes et la retenue injustifiée de son salaire mérité par Joseé Dumouchel, la directrice des ressources (in)humaines de la Commission scolaire Pointe-de-l'Île (CSPI), fonctionnaire perverse du Québec, intimidatrice, sadique, terroriste, mythomane, criminelle, pédocriminelle et experte en de nombreuses fabrications de faux et en diffusion de graves libelles diffamatoires calomnieux verbaux et écrits sur de nombreux employé(e)s de la CSPI, dont Chantal Mino ps.éd. afin de porter gravement atteinte à sa réputation et hautement lui nuire pour le reste de sa vie, pour qu'elle subisse un congédiement déguisé totalement injustifié et hautement criminel et inconstitutionnel après avoir pourtant passé haut la main sa probation et d'avoir été hautement félicitée et remerciée par écrit par des directrices d'Écoles et par ses deux patrons (Voir les 2 lettres, 1de2 et 2de2, envoyée par courriel Intranet de la CSPI à Chantal Mino ps.éd. par la CSPI et datée du 12 septembre 2010 écrites par ses 2 patrons Martin Landry et Nathalie Laramée où ils lui ont rajouté 2 jours de plus à son poste de 3 jours/semaine en prévention préscolaire à cause de son expertise diversifiée et constructive reconnue, dont suite à sa probation évaluée par des directions d'école et qu'elle a passée haut la main en juin 2010) Josée Dumouchel est allé jusqu'à agir de façons hautement criminelles afin qu'elle n'ait pas droit au chômage ni à aucun autre travail futur comme psychoéducatrice suite à ses fausses plaintes à l'Ordre mafieux des psychoéducateurs et psychoéducatrices du Québec (OPPQ) retenues par ses divers complices, dont le syndic sadique Robert Turbide qui travaille avec Josée Dumouchel à la CSPI ainsi que son sous-fifre syndic adjoint Gilles Bergeron, Renée Verville, Me Geneviève Roy et al. de pédocriminels harceleurs, calomniateurs, intimidateurs, cyber-intimidateurs et voleurs à l'OPPQ sous les ordres et le laisser-faire du(de la) ministre de la (l'In)Justice du Québec qui est aussi procureur(e) général(e) du Québec qui chapeaute la mafia pédocriminelle du DPCP, des Palais de la (l'In)Justice du Québec et leurs divers libelles diffamatoires calomnieux publiés sur leurs divers sites Internet de propagandes et manipulations perverses et criminelles judiciaires pour discréditer et ostraciser tous ceux qui pourraient nuire à cette sale Organisation Pédocriminelle Étatique Internationale Franc-Maçonne et/ou à leurs divers Frères et Sœurs ou autres de leurs sales complices larbins de service) et matériel (tels que bloquer et/ou voler les biens de sa famille pourtant entièrement payés par son mari vu que l'État mafieux pédocriminel franc-maçon du Québec empêche criminellement et inconstitutionnelement Chantal Mino ps.éd. de travailler pour gagner dûment son salaire depuis juin 2013, tel que voler des biens à sa famille depuis 2013 comme une partie du terrain donné criminellement à leurs complices voisins harceleurs calomniateurs criminels et voleurs demeurant à côté de la demeure familiale par un changement illégal au cadastre, dont le vol de sa voiture en février 2018 sans aucune requête ni une seule preuve signifiée à celle-ci ni document judiciaire ni procès ni jugement signé par un juge ni document légal avec l'aide de simples huissiers shylock de Paquette et associés, de vrais mafieux pédocriminels et autres fonctionnaires harceleurs falsificateurs du Percepteur des amendes du Québec sous les ordres de la Ministre de la (l'In)Justice Me Stéfanie Vallée et du minsitre des finances du Québec, etc. ... et refuser qu'elle soit entendue à la Commission des relations du travail (CRT) malgré un jugement de la Cour d'appel du Québec en 2017 qui fait croire que Chantal Mino était présente quand elle n'a pas pu y être pour pouvoir se défendre car elle a été traitée depuis 2013 comme une simple mise-en-cause tel que le faisait état son syndicat mafieux pédocriminel de la CSPI, soit le SPPMEM-CSQ dans leur requête bidon et quérulente, donc Chantal Mino n'avait rien à dire et rien à faire comme partie dans le dossier qui a été falsifié criminellement par après par l'administrattion de la (l'In)Justice du Québec pour la mettre comme "intimée" mais seulement dans le ŗôle et dans le jugement qui confime malgré tout que Chantal Mino n'a jamais pu être entendue depuis 2011 afin de faire valoir ses droits comme citoyenne Québécoise travaillant comme psychoéducatrice à la CSPI et d'être dûment dédommagée et payée pour son salaire dû par la CSPI comme psychoéducatrice experte en prévention préscolaire, et ce, depuis juin 2011 à ce jour, tout en la calomniant en même temps en faisant croire qu'elle aurait eu des problèmes de comportement sans les nommer ... car il n'y en a pas ... cela s'appelle du harcèlement psychologique de haut niveau sans aucun fait ni date nommées ni preuve car il n'y a absolument rien et cela, par 3 juges du plus haut tribunal du Québec soit la Cour d'appel du Québec. Que reste-t-il comme option à Chantal Mino quand le système judiciaire est corrompu jusqu'à la moëlle jusqu'au greffe de la Cour suprême qui l'empêche criminellement et calomnieusement d'y être seulement lue dans sa requête pour un Habeas corpus et autres recours de protection constitutionnelle en janvier 2014 par la Cour suprême du Canada face aux graves crimes qu'elle subit ainsi que son collègue Adam Richard qui sont détenus comme prisonniers policitique de cette Mafia pédocriminelle Franc-Maçonne d'État au Québec arbitrairement, criminellement et inconstitutionnellement telles que la Loi sur les mesures de guerre l'a imposée à des centaines de Québécois en 1970 malgré qu'elle ne soit plus en vigueur depuis des années et surtout, sans aucune plainte légale avec numéro de dossier ni preuve ni procès depuis le 15 octobre 2013), calomnies privées et publiques sur des sites du gouvernement du Québec et dans les Mérdias, par tentatives de meurtre, menaces de lui faire perdre son travail de psychoéducatrice à la CSPI et de la harceler criminellement jusqu'à ce qu'elle en meurt tel que l'État du Québec avec sa Mafia pédocriminelle d'État a tout mis en œuvre pour ce faire depuis février 2010 jusqu'à aujourd'hui et tel qu'en témoignent de nombreuses preuves irréfutables publiées sur AIDEF-Tele.org ainsi que le plumitif du ministère de la (l'in)Justice du Québec avec leurs divers faux mandats d'arrestation et de saisies abusives et faux jugements sans preuve donc aucument documentés et/ou aucunement signés par un juge comme l'exige pourtant la loi et dont seul un numéro de dossier a été inventé pour manipuler les apparences de façon totalement criminelle sans que personne comme fonctionnaire de la justice ne fasse son travail comme il se doit comme garde-fou et vérifie le moindrement la véracité et l'authenticité des allégations criminelles et calomnieuses et des documents extrêmement calomnieux et criminels diffusés et utilisés par de simples ouï-dires des autorités du Barreau du Québec et des Ministères de la (l'In)Justice et de la (l'In)Sécurité Publique du Québec en place et dont le seul but est de porter atteinte à la réputation, de torturer psychologiquement et physiquement, de nuire et d'éliminer une fois pour toute Chantal Mino ps.éd. avec l'aide de leurs complices chez Radio-Canada, Le Devoir, Power Corporation appartenant à la famille pédocriminelle Desmarais (avec leurs Mérdias comme La Presse et leur journaleuse calomnieuse pédocriminelle Christiane Desjardins, etc.), Quebecor appartenant au pédocriminel harceleur cyber-intimidateur Pierre Karl Péladeau (avec ses sales Merdias de propagandes comme TVA, Journal de Montréal, Journal de Québec, 24 Heures, etc. et ses journaleux mythomanes calomnieux dont le pédocriminel mythomane calomniateur Michael Nguyen), Droit Inc. avec leur chroniqueur avocat mythomane harceleur calomniateur cyber-initmidateur usurpateur pédocriminel Me Karim Renno et son complice et client Patrick Dugas, Alphabet Inc. (Google Inc., YouTube, GMail, Blogspot et feu Google+), Facebook, Vimeo et etc. qui la censurent de façon discriminatoire, arbitraire, illégale, criminelle et totalement inconstitutionnelle depuis 2013 (depuis 2012 pour ce qui est du journal Le Devoir avec son Paul Cauchon responsable du Site Web qui a commencé à laisser des graves calomnies criminelles être publiées sur Chantal Mino en réponses à ses commentaires sur certains articles qu'elle avait pourtant commentés poliment avec arguments intelligents et preuves à l'appui, et ce, tout en l'empêchant de pouvoir y répondre pour s'en défendre en la censurant carrément dans ses propres commentaires et en désactivant carrément par la suite son compte d'utilisatrice sur Internet comme abonnée du journal Le Devoir après échanges courriel virulents et très calomnieux de la part de ce Paul Cauchon envers Chantal Mino qu'il ne connaît même pas et elle n'a pas pu rien faire pour s'en protéger ni s'en défendre face à l'appui aveugle de la direction du journal Le Devoir envers ce bandit harceleur calomniateur censureur Paul Cauchon hormis ne plus y commenter et se désabonner pour de bon du journal Le Devoir qui la discrimine et la calomnie sans bon sens injustement à la demande des avocats véreux de la CSPI).
Chantal Mino ps.éd. est psychoéducatrice depuis plus de 25 ans et est présidente adjointe de l'Association Internationale des Droits de l'Enfant et de sa Famille (AIDEF fondée en janvier 2013), responsable de la Section Canada-Québec et administratrice de AIDEF Section Québec (AIDEf-Tele.org) avec Adam Richard. Ce sont des journalistes, réalisateurs et producteurs de Séries WebTélé, Docus-Réalité et documentaires et activistes en défense des droits humains.
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