Présentement, les habitants de pratiquement chaque pays sur terre, mais surtout ceux des pays occidentaux et autres "démocraties" et "États de Droit", font face à une montée croissante de la répression étatique parallèle à la prise de conscience globale par ces mêmes populations de la monumentale arnaque et crime contre l'Humanité de la création monétaire privée au profit des Banksters.

Cette arnaque est à la source de tous les autres symptômes de corruption généralisée observables au sein de nos sociétés dites "modernes".

Partout, la situation est la même : l'État use et abuse de son prétendu "pouvoir souverain" face auquel le citoyen lambda est habituellement dépourvu d'arguments, confronté à un appareil légal et électoral qui à prétention de légitimer ce même "pouvoir souverain" par l'autorité de la Démocratie et de l'État du Droit, valeurs nobles et incontestables, et ce peu importe si ce citoyen lambda a voté ou non.

C'est la mise en place d'une véritable "Dictature du Peuple, par le Peuple, pour le Peuple", en quelque sorte.

Ce film explique les relations entre les citoyens et le gouvernement en analysant certains articles des textes de loi suivants et explique comment faire valoir ses droits en tant qu'être humain face au gouvernement :

- Code Civil du Québec
- Charte des Droits et Libertés de la Personne du Québec
- Charte Canadienne des Droits et Libertés
- Code Criminel du Canada
- Loi sur les Banques du Canada
- Déclaration Universelle des Droits de l'Homme
- Pacte International sur les Droits Économiques, Sociaux et Culturels
- Pacte International sur les Droits Civiques et Politiques

Ce document multimédia est produit et diffusé en vertu de l'Article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, qui stipule clairement que :

"Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit."

Cet article/vidéo fait suite au film "La Loi, le Gouvernement et Vous", que j'ai publié vers la fin de décembre 2012. La démarche auto-didacte qui est présentée ici est conforme à la disposition préliminaire 184-8° du Code de Procédure Pénale du Québec qui stipule que :

184. À la demande du défendeur, le juge ordonne le rejet d’un chef d’accusation s’il est convaincu que:
8°  la disposition qui crée l’infraction est soit inapplicable constitutionnellement, soit invalide ou inopérante, y compris en regard de la Charte canadienne des droits et libertés ou de la Charte des droits et libertés de la personne.

Il est également recommandé par la suite de regarder "Tin mon P-6! Din fesses!" afin d'approfondir le même sujet.

Épisode 3 : Dans cet épisode, nous commençons à explorer les sources légales du pouvoir souverain du Québec, qui le détient réellement, et où se trouve la racine de ce pouvoir souverain inaliénable mis en doute par ceux qui prétendent nous gouverner. En supplément, nous révélons des éléments liés à l'arrestation illégale d'Adam Richard du 9 août dernier faisant penser à un complot entre les constables spéciaux des Palais de Justice de St-Jérôme et ceux de Montréal, alors que l'on subit encore une fois intimidation, menaces et harcèlement. Bref, la routine habituelle, quoi!

Ce document multimédia est produit et diffusé en vertu de l'Article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, qui stipule clairement que :

"Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit."

Cet article/vidéo fait suite au film "Comment faire sauter un ticket sans se fatiguer", que j'ai publié le 11 avril dernier, concernant une méthode générique pour faire sauter un constant d'infraction à travers une entente hors-cour, en utilisant un ticket émis par la Société de Transports de Montréal à titre d'exemple pratique réel.  Cet article/vidéo se terminait en faisant mention d'un constat d'infraction qui m'a été remis en vertu du règlement municipal P-6, constat d'infraction qui comportait quelques particularités qui étaient dignes, selon moi, d'être soulignées au sein d'un document dédié spécifiquement à cet effet.  C'est donc sur cet aspect que je vais me concentrer ici, en tentant d'éviter de reprendre de manière redondante les informations qui ont été présentées au sein de "Comment faire sauter un ticket sans se fatiguer".  Si certains concepts présentés ici vous échappent, ou encore si vous n'êtes pas familier avec le procédé présenté ici ou si tout simplement n'avez pas vu "Comment faire sauter un ticket sans se fatiguer" avant de tomber sur ce document-ci, je vous conseille fortement de consulter d'abord ce document avant de procéder avec celui-ci, histoire que vous ayez en main tout le matériel théorique légal sur lequel est appuyé cette démarche et afin de bien comprendre de quoi il est question ici.