Cette semaine, nous dressons un portrait peu enviable de l'état réel de la protection des enfants au Québec à travers un bref survol historique de divers cas de crimes graves commis contre des enfants au cours des 30 dernières années, vus à travers le prisme éclairant de nos anciens épisodes, et pour lesquels non seulement les coupables n'ont-ils pas été punis, mais pour lesquels surtout semble planer une certaine volonté de faire échouer les enquêtes policières, de bloquer le dépôt de plaintes, d'éviter que certaines personnes ne soient inquiétées pour leurs gestes, etc... Quitte à inventer des plaintes criminelles et à utiliser les arguments de la Loi sur les mesures de guerre (qui n'existe pourtant plus depuis 1988) pour faire mettre et maintenir arbitrairement et illégalement en prison ceux qui les dénoncent avec des preuves testimoniales à l'appui, comme Adam Richard et Chantal Mino depuis le 15 octobre 2013. On se demanderait bien pourquoi, si ce n'était de certains éléments récurrents qui pointent tous dans la même direction. À votre avis, qui pourrait bien avoir la volonté de vouloir protéger les pédocriminels, et de surcroît avoir le pouvoir de faire appliquer la Loi du Silence partout au Québec?

Retour sur la vague d'enlèvements d'enfants à Montréal dans les années 80, l'Opération Scorpion et l'Affaire Marie-Renée Baillargeon; avec en prime un scoop qui nous vient de Londres qui démontre que nous ne sommes pas très loin de la vérité.

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